un peu, beaucoup, passionnément…

Quand on débarque sur mon site, ou mes profils sur les réseaux sociaux, on voit bien que je suis pluridisciplinaire (multi-potentiels comme l’on dit)… c’est pour cela que j’exerce des activités diverses et variées.
Pour ne rien vous cacher, il m’est impossible de poser une seule étiquette sur mon activité. Alors, j’ai résumé cela par « serial créative entrepreneure » comme pour dire : je m’investie dans plusieurs projets de façon créative. A défaut de formule toute faite, je résume parfois mon/mes activité(s) en associant plusieurs mots comme : réalisatrice-coach-art thérapeute…

Je ne rentre pas dans une seule case, cela n’a jamais été le cas, c’est ainsi… Je me souviens, au lycée déjà, je revendiquais vouloir être comédienne et psychologue.

Quand on me pose la fameuse question, « Tu fais quoi dans la vie ? », j’ai tendance à répondre que « c’est compliqué »… et selon qui j’ai comme interlocuteur/trice, j’adapte mon discours. Force est de constater que je ne me revendique jamais entièrement telle que je suis. Soit je dis que je travaille dans la communication et l’audiovisuel, soit que je suis art-thérapeute… soit que je suis indépendante…
Et, finalement, depuis toutes ces années, où je suis confrontée à cette question, je pourrais presque finir par penser que c’est moi qui ai un problème ! C’est vrai quoi !? Pourquoi je n’ai pas fait UN choix unique !? Pourquoi je n’ai pas une seule étiquette qui permet aux autres d’être rassurés sur ce que je fais ?!

Quelques jours avant la « rentrée », ma belle-mère m’a (encore) dit « Mais tu fais quoi exactement ? Je ne sais jamais quoi répondre aux gens ? »… parce que je suis coache et thérapeute, je me suis dit « Ok, pour rencontrer (encore) ce genre de situation, qui plus est au sein de ta propre famille, c’est qu’il y a encore une part de toi qui se sent peut-être illégitime… »
Ben oui, c’est vrai ! Quoi dire aux gens !? C’est important les gens, puisqu’on a construit une société où l’on existe majoritairement dans le regard des autres. Du coup, si tu ne sais pas te présenter comme on l’attend de toi, en fait, peut-être que tu n’existes pas vraiment…
Rien que sur le mois d’août, j’ai été comédienne sur un long-métrage cinéma, et, réalisatrice d’un clip vidéo et d’enregistrements audio pour un centre social.
Depuis la rentrée, je réfléchis à de futurs ateliers qui mêleront écriture, audio et danse, j’ai enregistré une voix pour un spectacle, prochainement je vais me former à l’hypnose et la bio énergie, pour enrichir ma capacité à soutenir mes clients quand je porte ma casquette de coach/thérapeute… En octobre, je vais intervenir auprès de femmes en difficulté, en utilisant la vidéo et le collage pour leur permettre de se rencontrer entre elles et les encourager à revendiquer leurs droits.

C’est quoi mon « étiquette », alors ?…

Et si ce n’était pas très important de savoir répondre à cette question en un mot ? Et si ce n’était pas mon problème ? Et si ce n’était pas « compliqué » d’avoir plusieurs activités ?
Et si je répondais juste : Je suis libre ! Je m’adapte à mon environnement. J’exercice plusieurs activités différentes selon les projets dans lesquels je m’investie. Je réalise, je suis art-thérapeute, je donne des conférences, je fais des interviews de belles personnes, je coache des entrepreneurs, je suis thérapeute, etc…
Parce que ce qui compte en fait, c’est avant tout les rencontres que je fais, les valeurs dans lesquelles j’évolue, comment je contribue à être utile à la société, non ?

Alors, soit on dira que j’ai plusieurs métiers, soit on dira que je n’en ai aucun…
La crise sanitaire que nous traversons m’aura appris que l’étiquette que me donne l’administration est celle d’ « entrepreneur individuel » (ben oui parce que c’est forcément présenté au masculin dans les formulaires). C’est bien cette étiquette qui m’a permis d’être soutenue quand la pandémie a mis en stand by la plupart de mes activités et de mes projets.

Vous l’aurez compris, une période comme celle de la rentrée peut être propice à s’interroger sur le sens que l’on donne aux choses, aux événements, aux décisions que l’on prend pour la suite… Et bien, j’ai décidé de ne rien changer, de continuer à faire vibrer plusieurs cordes de mon arc en même temps, et à en ajouter de nouvelles si besoin, parce que l’on n’est jamais trop riche de vivre de nouvelles expériences ! J’ai décidé d’arrêter d’essayer de rentrer dans les cases proposées par les autres, la société, ma famille, etc…

J’ai décidé de continuer à m’épanouir en étant tout ce que je suis et je me suis dit : Tiens s’épanouir, ça me fait penser à « blooming », et cela me fait penser au super livre de Catherine Taret « Il n’est jamais trop tard pour éclore », que j’ai eu la chance d’interviewer ICI.
Alors pour éclore de toutes mes forces avec toute mon énergie, encore et encore, au cœur de merveilleux projets… J’ai inventé un exercice, celui de dessiner « my blooming flower » ! Ma fleur, celle qui synthétise mes talents, les valeurs auxquelles je crois. C’est ma fleur et je la trouve belle, et cela m’a fait un bien fou de prendre le temps de la faire apparaitre sur le papier ! De plus, cet exercice permet de visualiser très clairement que si l’on met en sourdine certaines de nos compétences, envies ou valeurs, et bien notre « blooming flower » perd des pétales et s’en trouve moins harmonieuse.


Qui sait… la prochaine fois que l’on me demande ce que je fais dans la vie… j’enverrai peut-être ma petite fleur en guise réponse !

Et vous ? Quels sont les pétales de votre jolie fleur ?

Il est toujours le moment de découvrir un livre qui nous parle !

Il est toujours le moment de découvrir un livre qui nous parle et c’est ce qui m’est arrivé il y a quelques petites semaines ! Il était déjà dans ma bibliothèque Kindle depuis sa sortie, il y a 3 ans, mais la vie qui va vite, tout ça… j’avais oublié de suivre mon intuition et de découvrir ce livre dont le titre résonne en moi comme une évidence !

Parmi les effets positifs du confinement, il y a eu celui qui m’a permis de m’accorder du temps juste pour moi, réservé à faire des choses que j’avais envie de faire depuis longtemps !
Et enfin, j’ai pu lire le livre de Catherine Taret, « Il n’est jamais trop tard pour éclore » ! D’ailleurs, plutôt que d’employer le terme « lire », il serait plus juste de dire « dévorer » !
Plus que de lire un livre, j’ai eu l’impression d’apprécier le « carnet de route et de réflexions » d’une amie en qui je me reconnaissais dans bien des points ! Je me suis sentie en terrain bienveillant et amical, je me suis sentie dans un endroit où je me sentais en sécurité, comprise… et cette sensation est assez agréable 🙂 !

De quoi parle ce livre ?
Pour faire simple et direct je dirais, de notre capacité à nous réaliser à tout âge et quelque soit notre parcours de vie. De la revendication possible qu’il est un droit que nous pouvons nous accorder… celui de ne pas rentrer dans les cases 🙂

Dès que j’ai terminé le livre, j’ai écouté mon intuition et j’ai envoyé un message à Catherine Taret, et le lendemain j’avais une réponse qui encourageait à l’échange… et Catherine m’a fait le beau cadeau d’accepter de répondre à quelques questions pour que je puisse partager ses réponses sur ce blog et j’en suis très très heureuse !

J’arrête donc de monopoliser votre lecture et je vous laisse en compagnie de Catherine !
Et,  je vous conseille vivement, si vous ne l’avez pas encore fait, de lire son livre  sans tarder !!!


3 ans après la sortie de « Il n’est jamais trop tard pour éclore », diriez-vous que le fait d’avoir écrit et publié ce livre a changé votre vie ? Y a-t-il eu un avant et un après ? Si oui, qu’est-ce qui est différent ?

Oui ça a changé ma vie car désormais, j’ai écrit un livre 🙂
Je sais que j’en suis capable, je ne me pose plus cette question. Je sais que je peux créer une « œuvre », à partir d’une idée, d’une intuition, de travail. C’est un changement immense par rapport à l’avant, où je doutais constamment de moi. Donc oui, ça a changé ma vie.

Un autre grand changement, c’est que j’avais quelque chose à dire, je voulais me libérer définitivement des injonctions que j’avais reçues sur le travail et les étapes de la vie. Je sentais bien, depuis toute petite, que je n’aurais pas un chemin classique. J’avais cette intuition enfant déjà, mais ça m’a pris 30 ans pour y arriver. J’ai « nettoyé » en quelque sorte ces croyances qui ne me servaient plus grâce à cette démarche que j’explique dans mon livre sur les Late Bloomers… Bon, il m’en reste d’autres sur lesquelles je bosse, mais celles-ci sont derrière moi, ouf. Ça fait un bien fou. Et ce n’est pas fini.

Sur votre site, vous invitez celles et ceux qui souhaitent dialoguer avec vous à vous contacter, est-ce important pour vous d’échanger sur le « late blooming » avec des personnes qui en ressentent le besoin ?

Depuis la sortie de mon livre, j’ai reçu beaucoup de messages de lecteurs qui me partagent leur histoire d’éclosion tardive, les blocages qu’ils rencontrent, souvent en eux-mêmes, et qui me sollicitent pour échanger. Je ne le faisais pas avant car je pensais que ce n’était pas mon rôle.

Aujourd’hui, je me suis ouverte à cela, dans un cadre de conversation, car je ne suis ni coach, ni thérapeute. Donc je le fais dans la même optique que celle de mon livre, une écoute intuitive, autour d’un projet spécifique, autour duquel la personne souhaite avancer. Je trouve que ces conversations sont très intéressantes pour clarifier les choses, mais toujours dans le cadre d’un projet.

Est-ce que des livres comme le votre, qui décrivent une possibilité de vivre sa vie de telle ou telle façon, sont importants pour que des personnes s’y reconnaissent ? Est-ce que vous pensez que nous avons besoin de nous identifier à d’autres, de nous reconnaître dans le parcours d’autrui pour nous donner le droit d’être nous-même ?

Je pense qu’hélas, il n’y a aucune méthode pour s’autoriser à devenir soi-même. Quand on a un peu de chance, on a des évidences en soi, ou on reçoit des indices de la vie, « tiens, ça a l’air de marcher quand je vais dans cette direction » ; ou des encouragements. Au fur et à mesure, on se donne le droit, mais c’est dur je trouve, de s’autoriser. Gagner ses droits, alors même qu’on a la chance d’en avoir pas mal ici, ça reste tout de même difficile et courageux.

Chacun a une telle richesse et une telle diversité d’expériences, je ne crois pas qu’on puisse trouver des réponses toutes faites dans un livre ou dans l’expérience d’un autre. En revanche, je pense qu’on avance en picorant. On a parfois de véritables prises de conscience en lisant ou en écoutant quelqu’un ou une histoire, en regardant une expo, etc. Quelque chose va nous parler, on va faire un lien avec une idée, un souvenir, et quelque chose va se clarifier en nous. Ou bien une idée va naître. Une prise de conscience… c’est l’une des expériences les plus riches que l’on puisse vivre, je trouve. Quand les choses s’éclairent, et qu’on accède à un autre niveau de conscience de qui l’on est, on monte d’un cran. On est prêt.

Aujourd’hui vous accompagnez les personnes qui le souhaitent à « affirmer » leur identité, à « débroussailler »… Les personnes qui expriment le besoin d’être soutenues dans cette démarche sont-elles nombreuses ? Qu’est-ce qui « empêche » le plus fréquemment les individus à avoir foi en eux et confiance en leur parcours ?

Dans mon quotidien, j’aide surtout les gens à prendre la parole, donc ça reste assez professionnel. Mais je constate que ce sont les mêmes mécanismes à l’œuvre dans l’entreprise que dans la vie. Ceux qui parlent le mieux sont ceux qui « connectent » aux autres quand ils prennent la parole. Et comment ils y arrivent ? En étant authentiques, vrais, en parlant d’eux, en montrant leur vrai visage. C’est absolument magique.

Le souci, c’est que la plupart des gens se raccrochent à leurs données, leurs process, leur cadre, leurs slides, et ils noient ce qu’ils veulent vraiment dire et ce qu’ils sont. C’est un exercice fascinant que de demander à une personne de travailler son discours ou sa présentation à partir d’une page blanche et d’un crayon de papier. En général, ils se précipitent sur leur écran pour me dire qu’ils ont déjà rassemblé quelques slides et paf, on passe à côté.

Je pense que nous sommes souvent terrifiés à l’idée de nous montrer, tout simplement. Peut-être par peur d’être mauvais, sans doute, et plus souvent qu’on ne croit, par peur d’être bon. Se montrer tel que l’on est, c’est aussi se confronter à tous les compromis, voire les compromissions que l’on accepte au quotidien, pour entrer dans le cadre, et ça fait peur. Se montrer, c’est prendre à terme le risque de changer.

Donc en réalité, les sujets que j’aborde dans mon livre et dans mon travail en entreprise touchent aux mêmes mécanismes.

Vous revendiquez avoir plusieurs cordes à votre arc, quelles sont celles que vous utilisez le plus souvent ?

La bienveillance, l’enthousiasme et l’écoute. Et j’essaie de me les appliquer aussi de plus en plus !

Pensez-vous qu’il est important de faire vibrer plusieurs de nos « cordes », de s’autoriser à avoir plusieurs activités professionnelles, plusieurs « étiquettes », de ne pas rentrer dans une seule case ?

Nous avons tous des dimensions différentes dans nos vies, ne serait-ce que les dimensions matérielle, émotionnelle, spirituelle. Si on faisait un vrai CV de nos vies, ça ressemblerait déjà à un arc avec pas mal de cordes. Mais il y a, à mon sens, une raison simple pour laquelle on accepte de se diminuer en se collant une étiquette, c’est pour être compris.

C’est difficile d’être incompris, très difficile. On risque d’être perçu comme anormal et se retrouver séparé, seul voire isolé. On préfère être accepté, relié, en sécurité. Tous. Alors que, comme je le disais plus haut, je pense que le débat n’est pas là. C’est Brene Brown qui l’explique très bien : c’est en montrant son vrai visage et sa vulnérabilité qu’on se relie le plus intimement aux autres. Donc finalement, montrer toutes ses facettes, assumer que l’on a plusieurs cordes à son arc et arriver à se raconter, ça nous rend plus fort. C’est ça que j’aime faire avec les gens, les aider à tisser ce lien entre leurs différentes facettes pour se raconter.

Peut-on éclore plusieurs fois dans sa vie, à l’image d’une fleur qui refleurit chaque année ?

J’espère bien ! Sinon on va s’ennuyer, non ?

Aujourd’hui, avec le recul, en prenant en considération votre parcours de « late bloomer » assumée, revendiquée même, si vous deviez ne donner qu’un seul conseil à une personne qui se sent découragée de n’avoir pas encore su trouver comment se réaliser pleinement… quel serait-il ?

Je n’aime pas les conseils car chaque histoire est singulière. Je peux partager ce en quoi je crois profondément : je crois que la vie est faite de cycles. Regardez la nature, les saisons. Parfois, quand on croit qu’il ne passe rien malgré nos efforts, alors qu’en en réalité, sous la surface, ça bosse dur. C’est l’hiver. Donc ne jamais arrêter de planter des graines, les arroser et les laisser reposer de temps en temps. Voilà mon conseil !

Merci 🙂

Merci à vous Catherine ! Vivement votre prochain ouvrage 😉

© photo : Flammarion – Claude Gassian

Retour de coaching

Avoir une multitude d’idées et prendre conscience que l’on a de l’intuition, cela peut vous permettre d’être utile aux autres,  et aussi de ne plus être en frustration -quasi permanente- de n’avoir pas assez de temps pour donner vie à toutes ces idées, ces envies, qui s’invitent sans préavis dans votre esprit.

Un jour, je ne sais plus quand exactement, j’ai « compris » que les gens venaient souvent à moi pour me demander avis et conseils. Un jour, j’ai compris que j’avais ce « sens » qui permet de mettre son intuition et son expérience au service des projets d’autrui. Un jour, j’ai réalisé à quel point j’aimais cela, à quel point je me sentais à ma place dans cette posture « d’éclaireur », à quel point cela me ré-générait de voir les yeux de mes interlocuteurs s’agrandir de satisfaction quand ils ressentent que j’ai compris leur projet et que je les « aide » à y voir clair sur la direction à prendre ou dans la façon de présenter leur « bébé ».

C’est ce que j’ai vécu vendredi dernier… Rentrer dans un nouvel univers, me concentrer jusqu’à en être presque imprégnée tout en gardant « l’œil extérieur », rencontrer de belles personnes pleines d’espoirs et d’envies, et partager ensemble l’un de ces moments magiques où l’on pourrait s’exclamer « Bon sang mais c’est bien sûr ! » quand on a trouvé quel est le bon chemin à emprunter pour le moment, sans pour autant lâcher la vision globale du projet. Quel Kiff !!
J’ai demandé à Caroline et Christophe, quel avait été leur ressenti… Je n’ai pas été déçue…  plutôt énormément touchée d’avoir ce retour si « wouah » !
Comme le bonheur ça se partage, je le fais ici 🙂

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« Tant de choses à dire, par quoi commencer ?

Anne-Lucie, c’est :

– une perception remarquable : à peine notre projet présenté, elle a immédiatement cerné la problématique, compris nos attentes, deviné nos interrogations….et répondu à tout, et bien au-delà !

– une disponibilité intellectuelle totale : concentrée sur le projet, le monde aurait pu s’écrouler autour de nous, elle aurait continué à penser, réfléchir, triturer les méninges, trouver les bonnes approches, imaginer de nouvelles perspectives

– un don de soi entier : peut-on parler d’empathie ? En tout cas, elle a parfaitement compris ce que l’on attendait, nous avions l’impression qu’elle cheminait dans nos têtes, embarquée avec nous sur le même bateau, et qu’elle faisait partie de l’aventure.

– le partage de son expérience, l’ouverture de nouveaux horizons, des idées plein la tête, le recadrage de ce qui dévie, du temps consacré sans compter, un échange direct et précis, sans détour, une bonne humeur communicative, un dynamisme remarquable, un optimisme à toutes épreuves : voici pêle-mêle les différentes qualités humaines et professionnelles que nous avons pu apprécier, et on en oublie certainement ! Tant mieux, cela permettra aux témoignages suivants de pouvoir ajouter ce que nous avons certainement oublié.

Pour conclure : Anne-Lucie, MERCI !!! »

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Si vous aussi, vous avez des projets, des idées, plus d’idées, des envies, des questions, trop de réponses… Avec ma formule magique :  Tête d’ampoule et 7ème sens, je serais ravie de vous accompagner un bout de chemin !
• Une vision extérieure pour ordonner, structurer, organiser vos idées
• Un soutien pour faire naître votre projet
• Un accompagnement pour valoriser au mieux l’imagination de vos collaborateurs et renforcer  le potentiel créatif de votre entreprise
• De nouveaux concepts pour créer ou re-booster votre business
• La clarification de vos envies pour re-trouver votre chemin
• L’acquisition des réflexes qui vous permettront de re-connaître votre intuition et de vous en servir au mieux
• La libération, l’acceptation de votre créativité pour  l’utiliser en confiance
• Un accompagnement pour identifier les tendances innovantes liées à votre activité
#intuition #spontanéité #curiosité #openmind

On se contacte ?

Faire le choix du bon choix, ici et maintenant…

Le temps file et se défile…
La vie, imprévisible peut s’arrêter du jour au lendemain… mais on l’oublie et on remet à demain ce qui nous tient à cœur, nos réflexions intérieures, l’écoute de nos besoins, de nos désirs, de nos envies. Parce qu’on n’a pas le temps, parce que c’est pas le moment…

Procrastiner pour déclarer ses impôts, sa TVA, réviser ses exams… c’est sans doute ce que beaucoup d’entre nous font sans même y réfléchir. Est-ce sans y réfléchir aussi que nous ne passons pas ou peu à l’action du côté de réalisation de nos idées, de la valorisation de notre potentiel ? Sommes-nous toujours en accord avec nos actes et nos décisions ?

Décider de l’être demande un effort permanent… car beaucoup de choses dans notre environnement nous renvoient que ‘ce n’est pas le moment’, ‘est-ce vraiment raisonnable ?’
Notre éducation, l’attitude à avoir en société, notre inconscient, nous encouragent sans cesse à rester prudents. Sans doute a-t-on développé ces automatismes de protection pour de bonnes raisons…

Comme j’en parlais déjà ici en partageant le talk de Tim Urban, la dead line existe bien, elle est réelle : c’est la fin de notre vie. Et quand c’est fini, c’est fini !

Croyez-vous que nous sommes en vie pour ne pas accomplir notre mission ? La ‘vraie’ je veux dire…
Croyez-vous que vous ne devez pas exploiter, savourer, partager vos nombreux talents ?
Croyez-vous que nous ne sommes pas là pour ne pas être profondément bienveillants, notamment avec les gens que nous aimons ?
Croyez-vous que nous avons tant de temps que cela ?
Est-on profondément si persuadé que demain existera ?

Une des raisons pour laquelle la vie est magique, c’est que l’on ne sait pas quand elle s’arrêtera. On ne connait pas la date de fin. Pourtant, le simple fait  de l’imaginer le plus tard possible nourrit notre illusion que nous avons le temps… Le temps de nous mettre au dessin, le temps d’écrire notre roman, le temps de dire à son conjoint qu’on l’aime, le temps de s’offrir ce voyage dont on rêve depuis si longtemps, le temps de créer sa boîte…

Nous vivons dans une société qui ne regarde pas la fin en face, qui ne regarde pas la mort en face, qui redoute la séparation… Façon autruche, nous mettons notre tête dans le sable, pour ne pas voir ce dont nous avons sans doute finalement le plus peur et nous ne faisons pas de cette peur notre alliée. Nous ne faisons pas (ou trop peu) de cette terrible évidence un moteur pour nous accomplir pleinement et contribuer à changer le monde, chacun à sa façon.

Les enseignements bouddhiques proposent de comprendre la mort pour mieux apprécier la vie… pour ne pas passer à côté… l’issue étant inévitable !

Bien sûr il est difficile d’imaginer que nous pourrons réaliser tout ce qui nous tient à cœur, et c’est bien normal… cependant la vie est impermanence, pleine de surprises et d’imprévus qui ouvrent bien souvent des voies que nous n’aurions pas oser espérer.

La vraie question à nous poser quand nous menons une action, quand nous sommes face à un choix, ne devrait-elle pas être :
« Suis-je bien en accord avec mes valeurs, avec qui je suis, en posant cet acte ? »
et même encore :
« Si il m’arrive quelque chose aujourd’hui, si je meurs aujourd’hui, quel choix ne vais-je pas regretter d’avoir fait ? »
Notre bucket list sera certainement encore bien longue au moment du départ final. Mais, le sera-t-elle parce que nous avons, à chaque fois, repoussé de passer à l’action ou parce que nous débordons d’envies, d’idées et de projets ?

Même s’il est bien nécessaire de devoir accomplir des tâches plus ou moins fun, aussi souvent que la vie me le rappelle, je me m’interroge sur ce qui est essentiel pour moi, maintenant, dans l’instant. J’essaye de vérifier si je fais ce que je souhaite faire… Si jamais ma vie s’arrêtait demain, aurais-je été en accord avec moi-même ? Et bien souvent la décision, même si elle n’est pas forcément la plus sage, la plus simple, me rassure car je ressens profondément que je suis sur le juste chemin, celui de MA vie.

« J’ai à faire pour ma vie future comme si je n’allais plus vivre demain » – Mahmoud Darwich, poète palestinien.

@aludv

Quand je participe au projet photographique de Pauline Le Pichon

Ça y est, nous sommes officiellement en été ! La période estivale commence et avec elle des occasions de s’accorder du temps et de prendre le temps de rencontrer sa créativité.

J’ai dernièrement ressenti le besoin de me reconnecter très profondément à ma part créative. Quand on encourage les autres à être créatifs, quand on les soutient dans leur créativité, quand votre créativité se met au service des projets d’autrui, arrive le moment où vous devez de nouveau expérimenter, juste pour vous, ce que votre cerveau est capable de « sortir » et d’inventer.

A l’occasion des jours fériés qui se sont succédés en mai et juin, je me suis lancé un défi que je vous conseille. Choisissez au hasard dans un dictionnaire, 3 mots et inventez une histoire où votre seule obligation est d’utiliser ces 3 mots… Laissez-vous guider par votre créativité et savourez la magie !
Moi qui écris très souvent pour les autres, j’ai redécouvert le plaisir simple d’inventer, de ne pas avoir de cadre ni de limites, de créer en toute liberté ! Ecrire de la fiction est un exercice qui s’avère passionnant car il vous permet de tout sortir, pourquoi pas de vous découvrir aussi et de tout utiliser : vos idées, votre vécu, vos envies, comme si vous entriez dans une dimension où tout est utile !

C’est entraînée par cet exercice que j’ai accueilli la proposition de Pauline.
Pauline Le Pichon est photographe. C’est lorsque que je coordonnais et animais le Concours Jeunes Talents pour Pictanovo, de 2013 à 2015, que nous nous sommes rencontrées, car Pauline y a participé 2 fois. En 2013, son projet Le Journal a été parmi les nominés et en 2015, son projet Dialogues et Interstices  avait fini parmi les 8 finalistes.

Depuis quelques semaines, Pauline a démarré une nouvelle série de photos « Fais comme chez toi ». Voir la photo 1 – Voir la photo 2 

« Vous vous rendez chez un ami et il vous dit « fais comme chez toi ». Par cette invitation, il vous propose de vous approprier son habitat de différentes façons possibles (s’assoir sur un canapé, se servir un verre par ex) tout en respectant certaines limites. Dans ce projet pluridisciplinaire, j’ai souhaité me servir de cette formule de politesse afin de questionner une nouvelle fois la dualité entre vérité et fiction. »

2 étapes majeures dans le process de création de cette série :

1 – Aller prendre des photos des intérieurs.
« J’ai demandé à mes amis et connaissances qui accepteraient de m’ouvrir la porte de leur intérieur le temps de quelques prises de vues. Je photographie des traces de leur présence. Si mon rendez-vous chez cette personne est planifié, le rendu photographique quant à lui demeure un vrai mystère puisque je fonctionne uniquement à l’instinct. Cette façon de procéder m’amène donc à photographier des affiches abimées comme des vêtements trainant sur un sofa. Ce travail photographique, à l’instar de celui de Sophie Calle, est sur- tout de l’ordre du constat et de l’observation d’une réelle part d’intimité.
Je ne cherche pas à ouvrir des tiroirs fermés, ni à fouiller dans un tas de papiers. Je souhaite me restreindre à ce qui se présentait devant moi, et cette restriction, fait écho, pour moi, à ce « Fais comme chez toi » que l’on ne prend jamais totalement au pied de la lettre. »

2 – Inviter des personnes à écrire un texte que leur inspire la photo.
« Je propose à d’autres personnes d’écrire quelques lignes selon une image que je leur envoie. Je fais en sorte que les personnes qui m’ont laissé venir photographier leurs présences ne soient pas intimement liées aux personnes qui écrivent, ce qui permet à ces derniers d’avoir le plus de recul possible. Hormis le fait que je souhaite quelque chose de « réel », je ne donne que très peu de consignes. »

« Ce processus créatif me permet de questionner une nouvelle fois nos rapports aux apparences puisque les écrits coïncident rarement avec la vérité qui se cache derrière l’image.
Le spectateur est ignorant de tout cela et ne peut donc pas savoir ce qui est réel et ce qui est faux voire même savoir si tout est réel ou si tout est faux… »

Vous l’aurez compris, Pauline m’a envoyé une photo et demandé d’écrire un texte.
Ci-après, vous découvrirez le résultat qui accompagne désormais la Photo 3 !
Un grand merci à Pauline pour cette proposition !

Ecrire une histoire d’après une photo avec laquelle vous n’avez aucun lien est un exercice de créativité que je vous conseille très vivement !

Si jamais vous avez envie de prêter votre plume à l’une des photos de Pauline, contactez-la !
Pauline est aussi sur Tumblr, Instagram, Facebook

Dés qu’elle vit le manteau, ainsi jeté sur le canapé, elle comprit que Stella était rentrée. Trois jours sans donner de nouvelles, c’était rude quand même ! Ok, elle avait proposé de la dépanner mais ça ne voulait pas dire que Stella pouvait entrer et sortir comme dans un moulin… Le parfum de Stella avait déjà envahi l’espace et on pouvait suivre sa trajectoire dans l’appart en allant de fringues en fringues. « Et en plus elle est bordélique » pensa Jane, en ramassant les affaires de son invitée qui ne semblait guère se soucier des conventions. « Oh non ! Il y a des limites, pas les sous-vêtements, merde ! », du bout des doigts, Jane saisit le string en dentelle noir de Stella et se dirigea d’un pas ferme vers la salle de bain, bien décidée à lui gueuler dessus. Elle fut stoppée net dans son élan. Elle la vit, là, sous la douche. La porte était grande ouverte. Stella était de dos et ne voyait pas Jane. La peau de Stella, couverte de bleus, laissait glisser sur elle les gouttes d’eau. Immobile, le visage levé vers le pommeau de douche pour recevoir l’eau en pleine face, Stella semblait chercher à recevoir la force de l’univers.
Jane marcha à reculons comme si cela pouvait lui permettre de faire moins de bruit. Elle déposa les fringues de Stella en boule dans un coin du salon.
Quand Stella débarqua dans le salon en peignoir, les cheveux prisonniers d’une serviette éponge, Jane fit mine de feuilleter un magasine tout en buvant son thé glacé, assise sur l’accoudoir du canapé.
Souriante, Jane lança, « Salut, ça va ? Je me suis permise de ramasser tes fringues, il y en avait partout ! », et Stella répondit « Merci, c’est cool. J’avais trop chaud, je devais filer sous la douche en urgence ». Stella se servit également un thé glacé et se vautra dans le divan comme si elle n’avait pas le corps couvert de bleus. Jane comprit qu’elle ne trouverait jamais le courage de lui en parler.

Publié sur son Tumblr ICI

Et vous ? Qu’auriez-vous imaginé ?

@aludv

Et si on s’accordait le temps de prendre de la hauteur ?

C’est pas à vous que je vais le dire… la vie va trop vite ! Pas vrai ?

Ce mois de mars a, pour ma part, été rempli, rempli, rempli… Des déplacements plus que d’habitude, de la route, de la fatigue, des dossiers à boucler (mais vite, hein ?) et voilà on se retrouve déjà le 1er avril, avec les bonnes résolutions de début d’année encore dans un coin de cerveau, pas tout à fait accessibles, parce qu’on a dû régler des trucs plus urgents… C’est la vie !

Vraisemblablement parce que j’en avais besoin, cette semaine, 2 micro-événements m’ont permis de prendre du recul :

1 – J’ai pris 5 minutes (enfin 14 minutes) pour enfin appuyer sur « play » et regarder le talk de Tim Urban. Une conférence drôle et totalement efficace qui nous explique comment ça marche dans le cerveau d’un procrastinateur/trice. Très simplement, il y explique le process, mon process, le process de beaucoup de personnes en fait…
Visionner ce talk m’a permis d’identifier, ou plutôt de me rappeler que « Oui ! Ce que l’on finit toujours par faire, c’est les choses pour lesquelles on a une date de fixée : examen, rapport pour un client, déclaration d’impôts, etc… » Et, que tout ce que nous repoussons toujours indéfiniment c’est nos projets personnels (les vrais), nos envies profondes (celles qu’on a même sans doute jamais confiées à personne), parce qu’on a pas de « deadline », ou pire, elle ne nous est pas imposée et nous devons la fixer nous même…
Pourtant, en 14 minutes, ou plutôt en 30 secondes, à la fin de son intervention, tout est là… Elle existe bien la « deadline », à nous de choisir de nous réaliser PLEINEMENT, ou pas, avant qu’elle arrive…

2 – Cette semaine, nous recevions le correspondant allemand de mon fils. Dans le programme dense de leurs activités de la semaine, l’après-midi du mercredi était prévue pour l’organisation d’une sortie à la discrétion de la famille qui reçoit. On avait décidé, avec mon mari, de s’organiser pour être disponibles tous les 2 (truc relativement exceptionnel dans notre vie bien/trop remplie) afin de vraiment faire une activité à 4. Quand est venu le moment de choisir quoi faire, on s’est dit qu’étant à 2 heures de Paris, on n’avait pas le droit de ne pas montrer à Adrian, la capitale et surtout la Tout Eiffel (dont il semblait très fan) !
Petite moue de notre ado qui exprime que « franchement faire l’aller-retour à Paris juste pour l’après-midi, c’est pas drôle »… Mais on ne lâche pas l’idée… Plus de place pour visiter la Tour Eiffel sauf à des prix exorbitants (incluant le tour de Paris en bus + croisière + tour Eiffel et encore c’est pas certain, ça dépend – blablabla)… mais on ne lâche pas l’idée…
Et là ! Dans mon cerveau de parisienne, il y a une lumière : La Tour Montparnasse ! Elle a fait partie du paysage de toute mon adolescence et pourtant, je ne suis jamais montée sur son toit !
Des billets à un tarif totalement abordable, pas de limite de temps quand à la durée de la visite, pas de file d’attente interminable… Et si on allait sur le toit de la Tour Montparnasse pour admirer Paris de tout là-haut, et voir le soleil se coucher ?
Le Kiff !!! C’est haut, c’est magnifique, il faisait beau et chaud… Une sorte de « quiétude » nous a envahi et nous a « conseillé » d’être dans l’instant. C’est, en tout cas, ce que nous nous sommes dit, avec mon mari… Là, sur le toit de Paris, sous le soleil, à imaginer ceux qui prenaient le soleil dans les parcs de la capitale, on réalisait qu’on avait débranché nos cerveaux ! Et c’était tellement BON !!

Alors oui, partir à 15h et revenir à 1h00 du mat, se faire 5/6 heures de voiture, ça fatigue (faut bien le reconnaître) mais pour être heureux, tout simplement, ça vaut le coup de s’écouter et de faire, quand même, des trucs pas très « raisonnables ».
Et, le bonheur n’étant pas égoïste, on a pu apprécié le fait que notre ado de fils avait bien aimé « quand même » et que son correspondant lui a rempli la carte mémoire de son smartphone avec des photos de la dame fer… Bref, ils étaient heureux ! Et ça aussi, ça fait du bien 😉

Bon ok, c’est pas forcément évident d’aller tous les jours, ou ne serait-ce qu’une fois pas semaine, sur le toit de la Tour Montparnasse, je le reconnais… Cependant, on a tous un endroit pas loin de nous qui peut nous aider à connecter à ce genre de sensation, n’est-ce pas ? Le bord de la mer, la promenade en forêt, le somment de la colline…
C’est sans doute parce que ces moments sont rares qu’on les apprécie énormément… et « qu’on ne peut pas faire ça tous les jours »…
Pourtant, ce soir-là, en m’endormant, j’ai senti que ceux sont ces moments-là que je serais heureuse d’avoir vécue quand je serais au « crépuscule de ma vie »… Ces moments où il n’y a rien de spécial, si ce n’est le fait de partager ensemble quelque chose de beau (Ça m’a rappelé la fois où on était tous debout à 4h du matin pour voir l’éclipse de lune) et je me suis promis d’en prévoir beaucoup plus souvent au planning de ma vie, avant la « deadline » 😉

Et vous ?

@aludv

Le pouvoir des mots

heforshe-askyourself-001Peut-être aviez-vous remarqué cette initiative de Emma Watson, le fait de « cacher » des livres porteurs de sens dans le métro pour éveiller les consciences, interpeller, encourager, changer le monde en somme ! Une façon de résister, de militer, qui a cela de magique que l’on ne sait pas qui « tombera » sur le livre déposé.
Une idée de j’ajoute à ma #todolist2017 !

9782882504272-c6b62Parmi les livres que Emma Watson, ambassadrice de ONU Femmes depuis 2014, cache dans le métro, il y a Lettre à ma fille de Maya Angelou et c’est l’un des cadeaux que j’ai eu la chance d’avoir à Noël ! Et je pose ses quelques lignes ici pour vous encourager à lire ce livre, que vous soyez une fille ou pas !

Dans cette lettre, écrite à une fille qu’elle n’a jamais eue, l’auteure partage avec nous des moments de vie, de ceux qui, de gré ou de force, lui ont permis de grandir et de s’éveiller… Un petit bijou !

Comment vous donner envie ? Je l’espère, en relayant un extrait :

« Tu ne peux contrôler tous les événements qui t’arrivent, mais tu peux décider de ne pas être réduite à eux. Essaie d’être un arc en ciel dans le nuage d’autrui. Ne te plains pas. Fais tout ton possible pour changer les choses qui te déplaisent et si tu ne peux opérer aucun changement, change ta façon de les appréhender. Tu vas trouver une solution.
Ne geins pas. Gémir informe la brute qu’une victime est dans les parages.
Fais en sorte de ne pas mourir sans avoir accompli quelque chose de merveilleux pour l’humanité. »

Voilà, voilà… Il y a t-il besoin d’ajouter quelque chose de plus entamer cette nouvelle année ?

@aludv

2017 !

Bienvenue dans cette nouvelle année où tout est possible !
On va encore pouvoir vivre de nombreux moments précieux !
N’en déplaise aux rabats joie…
Nous avancerons chaque jour sur le chemin du bonheur,
Eblouis par le potentiel créatif de chaque être humain !

Aimons la vie le plus possible !
Nourrissons-nous de nos différences !
N’ayons plus peur d’oser rêver nos vies, plus belles encore…
Emerveillons-nous des victoires de ceux qui nous sont chers,
Ensemble, vivons pleinement 2017 !

A chaque instant… c’est maintenant que tout commence

Illustration : La Paix embrassant l’Abondance – Rubens

Et si on choisissait que le mieux est possible ?

Je suis entrepreneure et comme beaucoup, je me bats au quotidien pour tenir bon, être autonome, etc…
Mon kif : Contribuer à ce que la société prenne davantage conscience que sa plus grande richesse se trouve en chaque personne !

L’être humain, noyé dans son quotidien, a oublié qu’il avait en lui un potentiel de « fou », une capacité illimitée à pouvoir inventer sa vie !
confiance-en-soiC’est en défendant cette notion (que j’estime fondamentale) que j’essaye de convaincre les managers, les dirigeants, les gens (tout simplement) que leur boite, leur équipe, leur vie sera juste incroyablement créative s’ils décident de se faire confiance, de faire confiance à leur entourage et surtout s’ils acceptent d’écouter ce qu’ils sont capables de se dirent à eux-même, d’écouter leur petite voix intérieure… et, quand ils décident de me faire confiance pour les accompagner, c’est juste magique (merci la vie) !

Tout vient de nous, aucun pouvoir, aucun mieux être, ne vous sera décerné par je ne sais quel gourou ou politicien…

L’échéance des présidentielles approche et avec elle, son lot de discours les plus insensés, ces incitations à la haine, ce populisme montant – qui a décidé d’oublier l’histoire parce qu’il est juste plus simple de se dire que « c’est la faute de l’autre »…
Va t-on encore devoir voter pour le moins pire en 2017 ? Ou…
Va t-on enfin arrêter de croire que je ne sais quel politique va venir nous sauver ?

chat-lionNotre victoire à tous sera commune, ou ne sera pas, car elle dépend de notre capacité à reconnaître combien nous sommes tous merveilleux.
Et oui ! A l’intérieur de chacun de nous il y a un petit trésor, (que dis-je ?) un grand trésor, qui s’appelle « potentiel » et qui ne demande qu’à hurler de joie qu’il existe, qu’il faut juste lui faire confiance ! Il est là pour ça !
(Rugissement du lion en fond sonore)

Et si on passait dans la dimension du grand ego ? Celui pour lequel le petit ego peut être moteur à condition de se mettre au service d’une grande cause, d’un truc plus grand que nous… genre, au hasard : Le bonheur de l’humanité !!
le-bonheur-est-un-choix8 Quoi ? T’es pas concerné(e) par cette idée ?
T’as juste envie d’assurer ton petit bonheur perso ?…
Ben… en fait… j’ai une mauvaise nouvelle pour toi… parce que le bonheur, si il n’est pas partagé, si il n’est pas créé avec les autres, en fait… il n’existe pas !

Vous êtes généreux et bienveillants ! Si, si je vous assure ! Vous n’en avez peut-être pas encore conscience mais c’est la stricte vérité et, en plus, vous avez le pouvoir de convaincre toute personne que vous rencontrerez qu’elle a aussi cette chance ! Et ainsi répandre la nouvelle ! Elle est pas belle la vie ?

e65f7c1212_95629_adn-definitionOui ! Nous pouvons décider d’écrire une destinée positive pour notre pays ! Je ne sais pas franchement de quelle façon mais, intuitivement, je me dis que si nous le décidons tous, et que nous y croyons dur comme fer… Alors, cette conviction – que tout est possible – s’inscrira dans notre ADN, et, de fait, pour commencer, notre attitude changera et puis celle de notre voisin aussi, de notre client, de notre boss, etc… Je ne décris pas ici le monde des bisounours – qui n’existe pas – mais bien un monde où nous prendrions tous la responsabilité d’une amélioration possible. Je rêve ? Possible…

En attendant, rêve ou pas rêve… Une chose est certaine, si jamais, malgré les nombreux efforts de tous et chacun… au 2ème tour des présidentielles, il faudra choisir entre le pire et le moins pire, ou le pire et le pire… je veux pouvoir me dire que cette situation n’est pas due au fait que je n’aurais rien dit, rien fait, rien essayé !

Je m’engage envers moi-même (et face à vous, puisque je pose ce texte ici) à :
– Nourrir ma curiosité
– Toujours préférer le dialogue
– Respecter ma vie, tout en ouvrant mon coeur
– Sourire à chaque personne que je croise et dire « bonjour » (quitte à passer pour une fille bizarre)
– Inciter les gens à voter aux 1er tour des présidentielles, pour que nous ayons l’espoir de choisir notre futur(e) Président(e) de la République davantage par convictions que pas défaut…

Et vous ? Vous allez faire quoi d’ici avril 2017 ?

@aludv

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SW comme Startup Weekend… à Valenciennes !

C’est quoi un startup weekend ?
capture-decran-2016-11-28-00-17-09C’est un moment ( le weekend, soit 54 heures) où l’on réunit, en un même lieu…Créatifs, Marketers, Techniciens, Développeurs, Entrepreneurs, Designers… afin de provoquer la créativité de chacun et de favoriser qu’elle soit « augmenter » en équipe, encourager à oser se lancer ou simplement soutenir ceux qui ont juste besoin d’un coup de pouce pour franchir le pas !
capture-decran-2016-11-28-00-17-22Et… Le weekend prochain, c’est à la Serre Numérique de Valenciennes qu’aura lieu le marathon startup-esque !
serre_numerique_new_686_186_cy_60_bor2_ffffffcapture-decran-2016-11-28-00-20-30Et… je suis super contente d’avoir été invitée à y être « coach » pour soutenir les équipes dans leur créativité et la présentation de leur projet devant le jury ! Youpi !

Si vous avez envie de partir en aventure créative avec nous c’est encore possible !
Toutes les infos sont ICI ! Pour acheter votre billet, c’est LA 🙂

A très vite !! 😉
@aludv

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