un peu, beaucoup, passionnément…

Quand on débarque sur mon site, ou mes profils sur les réseaux sociaux, on voit bien que je suis pluridisciplinaire (multi-potentiels comme l’on dit)… c’est pour cela que j’exerce des activités diverses et variées.
Pour ne rien vous cacher, il m’est impossible de poser une seule étiquette sur mon activité. Alors, j’ai résumé cela par « serial créative entrepreneure » comme pour dire : je m’investie dans plusieurs projets de façon créative. A défaut de formule toute faite, je résume parfois mon/mes activité(s) en associant plusieurs mots comme : réalisatrice-coach-art thérapeute…

Je ne rentre pas dans une seule case, cela n’a jamais été le cas, c’est ainsi… Je me souviens, au lycée déjà, je revendiquais vouloir être comédienne et psychologue.

Quand on me pose la fameuse question, « Tu fais quoi dans la vie ? », j’ai tendance à répondre que « c’est compliqué »… et selon qui j’ai comme interlocuteur/trice, j’adapte mon discours. Force est de constater que je ne me revendique jamais entièrement telle que je suis. Soit je dis que je travaille dans la communication et l’audiovisuel, soit que je suis art-thérapeute… soit que je suis indépendante…
Et, finalement, depuis toutes ces années, où je suis confrontée à cette question, je pourrais presque finir par penser que c’est moi qui ai un problème ! C’est vrai quoi !? Pourquoi je n’ai pas fait UN choix unique !? Pourquoi je n’ai pas une seule étiquette qui permet aux autres d’être rassurés sur ce que je fais ?!

Quelques jours avant la « rentrée », ma belle-mère m’a (encore) dit « Mais tu fais quoi exactement ? Je ne sais jamais quoi répondre aux gens ? »… parce que je suis coache et thérapeute, je me suis dit « Ok, pour rencontrer (encore) ce genre de situation, qui plus est au sein de ta propre famille, c’est qu’il y a encore une part de toi qui se sent peut-être illégitime… »
Ben oui, c’est vrai ! Quoi dire aux gens !? C’est important les gens, puisqu’on a construit une société où l’on existe majoritairement dans le regard des autres. Du coup, si tu ne sais pas te présenter comme on l’attend de toi, en fait, peut-être que tu n’existes pas vraiment…
Rien que sur le mois d’août, j’ai été comédienne sur un long-métrage cinéma, et, réalisatrice d’un clip vidéo et d’enregistrements audio pour un centre social.
Depuis la rentrée, je réfléchis à de futurs ateliers qui mêleront écriture, audio et danse, j’ai enregistré une voix pour un spectacle, prochainement je vais me former à l’hypnose et la bio énergie, pour enrichir ma capacité à soutenir mes clients quand je porte ma casquette de coach/thérapeute… En octobre, je vais intervenir auprès de femmes en difficulté, en utilisant la vidéo et le collage pour leur permettre de se rencontrer entre elles et les encourager à revendiquer leurs droits.

C’est quoi mon « étiquette », alors ?…

Et si ce n’était pas très important de savoir répondre à cette question en un mot ? Et si ce n’était pas mon problème ? Et si ce n’était pas « compliqué » d’avoir plusieurs activités ?
Et si je répondais juste : Je suis libre ! Je m’adapte à mon environnement. J’exercice plusieurs activités différentes selon les projets dans lesquels je m’investie. Je réalise, je suis art-thérapeute, je donne des conférences, je fais des interviews de belles personnes, je coache des entrepreneurs, je suis thérapeute, etc…
Parce que ce qui compte en fait, c’est avant tout les rencontres que je fais, les valeurs dans lesquelles j’évolue, comment je contribue à être utile à la société, non ?

Alors, soit on dira que j’ai plusieurs métiers, soit on dira que je n’en ai aucun…
La crise sanitaire que nous traversons m’aura appris que l’étiquette que me donne l’administration est celle d’ « entrepreneur individuel » (ben oui parce que c’est forcément présenté au masculin dans les formulaires). C’est bien cette étiquette qui m’a permis d’être soutenue quand la pandémie a mis en stand by la plupart de mes activités et de mes projets.

Vous l’aurez compris, une période comme celle de la rentrée peut être propice à s’interroger sur le sens que l’on donne aux choses, aux événements, aux décisions que l’on prend pour la suite… Et bien, j’ai décidé de ne rien changer, de continuer à faire vibrer plusieurs cordes de mon arc en même temps, et à en ajouter de nouvelles si besoin, parce que l’on n’est jamais trop riche de vivre de nouvelles expériences ! J’ai décidé d’arrêter d’essayer de rentrer dans les cases proposées par les autres, la société, ma famille, etc…

J’ai décidé de continuer à m’épanouir en étant tout ce que je suis et je me suis dit : Tiens s’épanouir, ça me fait penser à « blooming », et cela me fait penser au super livre de Catherine Taret « Il n’est jamais trop tard pour éclore », que j’ai eu la chance d’interviewer ICI.
Alors pour éclore de toutes mes forces avec toute mon énergie, encore et encore, au cœur de merveilleux projets… J’ai inventé un exercice, celui de dessiner « my blooming flower » ! Ma fleur, celle qui synthétise mes talents, les valeurs auxquelles je crois. C’est ma fleur et je la trouve belle, et cela m’a fait un bien fou de prendre le temps de la faire apparaitre sur le papier ! De plus, cet exercice permet de visualiser très clairement que si l’on met en sourdine certaines de nos compétences, envies ou valeurs, et bien notre « blooming flower » perd des pétales et s’en trouve moins harmonieuse.


Qui sait… la prochaine fois que l’on me demande ce que je fais dans la vie… j’enverrai peut-être ma petite fleur en guise réponse !

Et vous ? Quels sont les pétales de votre jolie fleur ?

Décrire son activité comme on est !

Mathilde avait besoin de décrire son activité en quelques minutes et en vidéo.
Pas toujours facile de se filmer seule avec son smartphone, d’avoir l’air naturel et détendu, d’utiliser les mots qui nous viennent naturellement quand on recommence 5 fois la prise…
Alors, on a eu une idée ! Je l’ai interviewée, elle m’a racontée avec passion ce qui l’anime quand elle intervient en entreprise, comment elle propose aux équipes se sortir de leur zone de confort, en restant dans le plaisir et l’intuition.

Suite à cet exercice j’avais en boîte presque 30 minutes de notre échange, j’ai passé un peu de temps en montage et voici le résultat avec 6 petites vidéos prêtes à être partagées sur les réseaux sociaux 🙂

Merci Mathilde Laguës pour ta confiance !

Il est toujours le moment de découvrir un livre qui nous parle !

Il est toujours le moment de découvrir un livre qui nous parle et c’est ce qui m’est arrivé il y a quelques petites semaines ! Il était déjà dans ma bibliothèque Kindle depuis sa sortie, il y a 3 ans, mais la vie qui va vite, tout ça… j’avais oublié de suivre mon intuition et de découvrir ce livre dont le titre résonne en moi comme une évidence !

Parmi les effets positifs du confinement, il y a eu celui qui m’a permis de m’accorder du temps juste pour moi, réservé à faire des choses que j’avais envie de faire depuis longtemps !
Et enfin, j’ai pu lire le livre de Catherine Taret, « Il n’est jamais trop tard pour éclore » ! D’ailleurs, plutôt que d’employer le terme « lire », il serait plus juste de dire « dévorer » !
Plus que de lire un livre, j’ai eu l’impression d’apprécier le « carnet de route et de réflexions » d’une amie en qui je me reconnaissais dans bien des points ! Je me suis sentie en terrain bienveillant et amical, je me suis sentie dans un endroit où je me sentais en sécurité, comprise… et cette sensation est assez agréable 🙂 !

De quoi parle ce livre ?
Pour faire simple et direct je dirais, de notre capacité à nous réaliser à tout âge et quelque soit notre parcours de vie. De la revendication possible qu’il est un droit que nous pouvons nous accorder… celui de ne pas rentrer dans les cases 🙂

Dès que j’ai terminé le livre, j’ai écouté mon intuition et j’ai envoyé un message à Catherine Taret, et le lendemain j’avais une réponse qui encourageait à l’échange… et Catherine m’a fait le beau cadeau d’accepter de répondre à quelques questions pour que je puisse partager ses réponses sur ce blog et j’en suis très très heureuse !

J’arrête donc de monopoliser votre lecture et je vous laisse en compagnie de Catherine !
Et,  je vous conseille vivement, si vous ne l’avez pas encore fait, de lire son livre  sans tarder !!!


3 ans après la sortie de « Il n’est jamais trop tard pour éclore », diriez-vous que le fait d’avoir écrit et publié ce livre a changé votre vie ? Y a-t-il eu un avant et un après ? Si oui, qu’est-ce qui est différent ?

Oui ça a changé ma vie car désormais, j’ai écrit un livre 🙂
Je sais que j’en suis capable, je ne me pose plus cette question. Je sais que je peux créer une « œuvre », à partir d’une idée, d’une intuition, de travail. C’est un changement immense par rapport à l’avant, où je doutais constamment de moi. Donc oui, ça a changé ma vie.

Un autre grand changement, c’est que j’avais quelque chose à dire, je voulais me libérer définitivement des injonctions que j’avais reçues sur le travail et les étapes de la vie. Je sentais bien, depuis toute petite, que je n’aurais pas un chemin classique. J’avais cette intuition enfant déjà, mais ça m’a pris 30 ans pour y arriver. J’ai « nettoyé » en quelque sorte ces croyances qui ne me servaient plus grâce à cette démarche que j’explique dans mon livre sur les Late Bloomers… Bon, il m’en reste d’autres sur lesquelles je bosse, mais celles-ci sont derrière moi, ouf. Ça fait un bien fou. Et ce n’est pas fini.

Sur votre site, vous invitez celles et ceux qui souhaitent dialoguer avec vous à vous contacter, est-ce important pour vous d’échanger sur le « late blooming » avec des personnes qui en ressentent le besoin ?

Depuis la sortie de mon livre, j’ai reçu beaucoup de messages de lecteurs qui me partagent leur histoire d’éclosion tardive, les blocages qu’ils rencontrent, souvent en eux-mêmes, et qui me sollicitent pour échanger. Je ne le faisais pas avant car je pensais que ce n’était pas mon rôle.

Aujourd’hui, je me suis ouverte à cela, dans un cadre de conversation, car je ne suis ni coach, ni thérapeute. Donc je le fais dans la même optique que celle de mon livre, une écoute intuitive, autour d’un projet spécifique, autour duquel la personne souhaite avancer. Je trouve que ces conversations sont très intéressantes pour clarifier les choses, mais toujours dans le cadre d’un projet.

Est-ce que des livres comme le votre, qui décrivent une possibilité de vivre sa vie de telle ou telle façon, sont importants pour que des personnes s’y reconnaissent ? Est-ce que vous pensez que nous avons besoin de nous identifier à d’autres, de nous reconnaître dans le parcours d’autrui pour nous donner le droit d’être nous-même ?

Je pense qu’hélas, il n’y a aucune méthode pour s’autoriser à devenir soi-même. Quand on a un peu de chance, on a des évidences en soi, ou on reçoit des indices de la vie, « tiens, ça a l’air de marcher quand je vais dans cette direction » ; ou des encouragements. Au fur et à mesure, on se donne le droit, mais c’est dur je trouve, de s’autoriser. Gagner ses droits, alors même qu’on a la chance d’en avoir pas mal ici, ça reste tout de même difficile et courageux.

Chacun a une telle richesse et une telle diversité d’expériences, je ne crois pas qu’on puisse trouver des réponses toutes faites dans un livre ou dans l’expérience d’un autre. En revanche, je pense qu’on avance en picorant. On a parfois de véritables prises de conscience en lisant ou en écoutant quelqu’un ou une histoire, en regardant une expo, etc. Quelque chose va nous parler, on va faire un lien avec une idée, un souvenir, et quelque chose va se clarifier en nous. Ou bien une idée va naître. Une prise de conscience… c’est l’une des expériences les plus riches que l’on puisse vivre, je trouve. Quand les choses s’éclairent, et qu’on accède à un autre niveau de conscience de qui l’on est, on monte d’un cran. On est prêt.

Aujourd’hui vous accompagnez les personnes qui le souhaitent à « affirmer » leur identité, à « débroussailler »… Les personnes qui expriment le besoin d’être soutenues dans cette démarche sont-elles nombreuses ? Qu’est-ce qui « empêche » le plus fréquemment les individus à avoir foi en eux et confiance en leur parcours ?

Dans mon quotidien, j’aide surtout les gens à prendre la parole, donc ça reste assez professionnel. Mais je constate que ce sont les mêmes mécanismes à l’œuvre dans l’entreprise que dans la vie. Ceux qui parlent le mieux sont ceux qui « connectent » aux autres quand ils prennent la parole. Et comment ils y arrivent ? En étant authentiques, vrais, en parlant d’eux, en montrant leur vrai visage. C’est absolument magique.

Le souci, c’est que la plupart des gens se raccrochent à leurs données, leurs process, leur cadre, leurs slides, et ils noient ce qu’ils veulent vraiment dire et ce qu’ils sont. C’est un exercice fascinant que de demander à une personne de travailler son discours ou sa présentation à partir d’une page blanche et d’un crayon de papier. En général, ils se précipitent sur leur écran pour me dire qu’ils ont déjà rassemblé quelques slides et paf, on passe à côté.

Je pense que nous sommes souvent terrifiés à l’idée de nous montrer, tout simplement. Peut-être par peur d’être mauvais, sans doute, et plus souvent qu’on ne croit, par peur d’être bon. Se montrer tel que l’on est, c’est aussi se confronter à tous les compromis, voire les compromissions que l’on accepte au quotidien, pour entrer dans le cadre, et ça fait peur. Se montrer, c’est prendre à terme le risque de changer.

Donc en réalité, les sujets que j’aborde dans mon livre et dans mon travail en entreprise touchent aux mêmes mécanismes.

Vous revendiquez avoir plusieurs cordes à votre arc, quelles sont celles que vous utilisez le plus souvent ?

La bienveillance, l’enthousiasme et l’écoute. Et j’essaie de me les appliquer aussi de plus en plus !

Pensez-vous qu’il est important de faire vibrer plusieurs de nos « cordes », de s’autoriser à avoir plusieurs activités professionnelles, plusieurs « étiquettes », de ne pas rentrer dans une seule case ?

Nous avons tous des dimensions différentes dans nos vies, ne serait-ce que les dimensions matérielle, émotionnelle, spirituelle. Si on faisait un vrai CV de nos vies, ça ressemblerait déjà à un arc avec pas mal de cordes. Mais il y a, à mon sens, une raison simple pour laquelle on accepte de se diminuer en se collant une étiquette, c’est pour être compris.

C’est difficile d’être incompris, très difficile. On risque d’être perçu comme anormal et se retrouver séparé, seul voire isolé. On préfère être accepté, relié, en sécurité. Tous. Alors que, comme je le disais plus haut, je pense que le débat n’est pas là. C’est Brene Brown qui l’explique très bien : c’est en montrant son vrai visage et sa vulnérabilité qu’on se relie le plus intimement aux autres. Donc finalement, montrer toutes ses facettes, assumer que l’on a plusieurs cordes à son arc et arriver à se raconter, ça nous rend plus fort. C’est ça que j’aime faire avec les gens, les aider à tisser ce lien entre leurs différentes facettes pour se raconter.

Peut-on éclore plusieurs fois dans sa vie, à l’image d’une fleur qui refleurit chaque année ?

J’espère bien ! Sinon on va s’ennuyer, non ?

Aujourd’hui, avec le recul, en prenant en considération votre parcours de « late bloomer » assumée, revendiquée même, si vous deviez ne donner qu’un seul conseil à une personne qui se sent découragée de n’avoir pas encore su trouver comment se réaliser pleinement… quel serait-il ?

Je n’aime pas les conseils car chaque histoire est singulière. Je peux partager ce en quoi je crois profondément : je crois que la vie est faite de cycles. Regardez la nature, les saisons. Parfois, quand on croit qu’il ne passe rien malgré nos efforts, alors qu’en en réalité, sous la surface, ça bosse dur. C’est l’hiver. Donc ne jamais arrêter de planter des graines, les arroser et les laisser reposer de temps en temps. Voilà mon conseil !

Merci 🙂

Merci à vous Catherine ! Vivement votre prochain ouvrage 😉

© photo : Flammarion – Claude Gassian

Dans ma boîte à trésors, il y a…

Je suis engagée dans plusieurs projets et cela me laisse, hélas, peu de temps pour écrire ici…

Au menu de mes occupations, deux films documentaires que je réalise, une association que je lance, un spectacle que je co-écris… et aussi les séances de coaching, d’art thérapie, les interviews et autres travaux de rédactions pour mes clients…

• Depuis début 2018, je porte un film documentaire : « Odette et moi ».
Ce film capte la transmission d’un spectacle. « Les chatouilles ou la danse de la colère » est une oeuvre artistique qui libère la parole sur le sujet, encore trop tabou, de la pédocriminalité.
Ecrit par Andréa Bescond, qui l’a joué durant plus de 4 ans, mis en scène par Eric Metayer, ce seule-en-scène est interprété par Déborah Moreau.
Depuis avril 2018 et jusqu’en juillet 2019, nous avons suivi cette passation artistique, gorgée d’émotionS !
Aujourd’hui, il nous faut passer à la post-production et réaliser le montage du film. Pour financer cette étape, mon producteur œuvre pour signer avec une diffuseur TV.
Pour suivre l’aventure, ICI la page Facebook

• Depuis juin 2018, j’accompagne Mikael Fau pour la création de son seul en scène  » Une vie rêvée », et j’ai le plaisir de co-écrire le spectacle avec lui.
Avec son expérience pour base d’écriture, Mikael s’est lancé le défi de faire naître de son histoire singulière, un spectacle qui parle à tous.
Son envie est d’offrir aux spectateurs une parenthèse artistique après laquelle chacun-e pourra se dire : «Et pourquoi pas ? Et si mon rêve devenait réalité ?»
Sa motivation ? Partager comment, à chaque fois, nous pouvons décider d’accepter les défis que la vie met sur notre parcours, et comment, même au cœur des difficultés, nous pouvons choisir de rester debout.
Sa conviction ? Les événements heureux ou malheureux sont matière à être utilisés pour grandir et aller vers ce qu’il y a de meilleur pour notre développement.
Comment imagine-t-il son spectacle ? Comme il est, avec de la comédie, de la danse, de la musique, de la peinture, du visuel, de l’émotion et de l’humour, en relevant le défi d’incarner plusieurs personnages.
– LE SYNOPSIS –
Jim est coach de vie en développement personnel.
Ce soir, en prenant pour exemple la vie de Charlie, il met en avant des situations qui lui permettent de démontrer que sa méthode est LA plus efficace lorsqu’il s’agit de faire face aux aléas de la vie.
Pour suivre l’aventure il y a LA PAGE FACEBOOK et LE PROFIL INSTAGRAM

• Depuis juin 2019, une association qui me tient particulièrement à cœur à vu le jour. : Uman Arts Company est un rassemblement international d’artistes, de professionnels de santé, de praticiens du bien-être… de toutes les personnes qui se sentent concernées, désireuses d’agir avec le coeur et avec leurs talents (HEART ou ART) pour irriguer le monde avec des valeurs telles que : les droits humains, la solidarité, la non-violence, l’éducation citoyenne et la protection de l’Enfance, le respect absolu de la dignité de la vie.
Je vous invite à visIter le site ICI et suivre la page Facebook LÀ, ou encore sur Instagram.

• Depuis septembre 2019, j’ai commencé les repérages pour mon deuxième film documentaire : « Once upon a dance ».
Quand je suis sortie de l’amnésie traumatique, il y a presque 4 ans, j’ai été envahie par un besoin, celui de danser. Avec les souvenirs qui se libéraient, « ma danse » se
libérait également… Alors, j’ai dansé seule dans mon salon.
La vérité était remontée au conscient, c’était dur et à la fois libérateur. J’acceptais cette envie de danser… Et puis entre 2 mouvements, j’ai eu un flash…
J’ai étudié la danse, je l’ai pratiqué, enseigné… Et puis mon corps est devenu trop douloureux, si transformé, si camouflé, que j’ai arrêté de vivre ce droit au mouvement, ce droit à la danse…
Avec ce flash… j’ai compris que si mon passé avait été différent, que si je n’avais pas vécu ce traumatisme, j’aurais pu continuer de danser… Etre danseuse.
Depuis toujours, il est là, il existe secrètement, je l’ai gardé en moi… dans ma tête, il y a un studio de danse dans lequel je peux me réfugier quand je veux et créer des chorégraphies. Des chorégraphies où mon corps tourne et virevolte avec aisance…
Avec ce film, je me lance le défi de vivre ce studio de danse, dans le réel.
Pour suivre l’aventure, ICI la page Facebook.

Merci d’avoir lu jusqu’ici et à très vite, j’espère, pour partager avec vous la suite de toutes ces belles aventures 🙂

2020

2019 a filé plus vite qu’un éclair ! Si dense, si intense !
2019 m’a offert de poursuivre le tournage de mon documentaire Odette et moi, de commencer le suivant qui parle de danse et de réparation et de valider mon cursus de formation en Art Thérapie !

D’ailleurs, je n’ai pas oublié de lui dire merci, à la vie, pour cette année si remplie !

Et vous ? Avez-vous pris le temps de faire le bilan ?

Que nous offrira 2020 ? La vie est un mystère et c’est ce qui fait son charme !
Une chose reste néanmoins certaine, c’est en se positionnant du côté positif de la force, un peu à la façon d’un Jedi (oui, j’ai vu le dernier Star Wars !), que nous avons le pouvoir de faire au mieux pour nous et pour les autres ! 2020 ça rime avec « Bien » !
Alors… J’ai décidé de commencer cette année autour de « L’Autoportrait Positif » et je vous invite à tenter l’aventure 😉 On en parle ?

Laisser le passé – Vivre au présent – Imaginer le futur…
Dans votre entreprise, valorisez vos collaborateurs avec l’atelier « Autoportrait Positif » – Jusqu’à 12 personnes – 6 séances de 2h30 – Devis sur demande 😀
#artthérapie #teambuilding #positiveattitude #confiance

2019

#BonneAnnée
#voeux #bonheur #sourire #moments #livres #paix
#quiscintille#conviction #chat #câlin #art #étoile #gourmandise #prospérité #recyclage
#lepouvoirdunous #seréinventer #libertédexpression #questcequetuattends #ours
#comediemusicale #animaux #profiter#detente #plonger #dansons

#HappyNewYear
#wishes #happiness #smile #moments #books #peace #twinkle #conviction #cat #cuddle #hug #art #star #delicacy #prosperity #upcycling #thepowerofwe #reinventitself #freedoomofspeech #whatdidyouexpect #bear #musicals #animals #enjoy #relax #plunge #letsdance

Retour de coaching

Avoir une multitude d’idées et prendre conscience que l’on a de l’intuition, cela peut vous permettre d’être utile aux autres,  et aussi de ne plus être en frustration -quasi permanente- de n’avoir pas assez de temps pour donner vie à toutes ces idées, ces envies, qui s’invitent sans préavis dans votre esprit.

Un jour, je ne sais plus quand exactement, j’ai « compris » que les gens venaient souvent à moi pour me demander avis et conseils. Un jour, j’ai compris que j’avais ce « sens » qui permet de mettre son intuition et son expérience au service des projets d’autrui. Un jour, j’ai réalisé à quel point j’aimais cela, à quel point je me sentais à ma place dans cette posture « d’éclaireur », à quel point cela me ré-générait de voir les yeux de mes interlocuteurs s’agrandir de satisfaction quand ils ressentent que j’ai compris leur projet et que je les « aide » à y voir clair sur la direction à prendre ou dans la façon de présenter leur « bébé ».

C’est ce que j’ai vécu vendredi dernier… Rentrer dans un nouvel univers, me concentrer jusqu’à en être presque imprégnée tout en gardant « l’œil extérieur », rencontrer de belles personnes pleines d’espoirs et d’envies, et partager ensemble l’un de ces moments magiques où l’on pourrait s’exclamer « Bon sang mais c’est bien sûr ! » quand on a trouvé quel est le bon chemin à emprunter pour le moment, sans pour autant lâcher la vision globale du projet. Quel Kiff !!
J’ai demandé à Caroline et Christophe, quel avait été leur ressenti… Je n’ai pas été déçue…  plutôt énormément touchée d’avoir ce retour si « wouah » !
Comme le bonheur ça se partage, je le fais ici 🙂

– – – –

« Tant de choses à dire, par quoi commencer ?

Anne-Lucie, c’est :

– une perception remarquable : à peine notre projet présenté, elle a immédiatement cerné la problématique, compris nos attentes, deviné nos interrogations….et répondu à tout, et bien au-delà !

– une disponibilité intellectuelle totale : concentrée sur le projet, le monde aurait pu s’écrouler autour de nous, elle aurait continué à penser, réfléchir, triturer les méninges, trouver les bonnes approches, imaginer de nouvelles perspectives

– un don de soi entier : peut-on parler d’empathie ? En tout cas, elle a parfaitement compris ce que l’on attendait, nous avions l’impression qu’elle cheminait dans nos têtes, embarquée avec nous sur le même bateau, et qu’elle faisait partie de l’aventure.

– le partage de son expérience, l’ouverture de nouveaux horizons, des idées plein la tête, le recadrage de ce qui dévie, du temps consacré sans compter, un échange direct et précis, sans détour, une bonne humeur communicative, un dynamisme remarquable, un optimisme à toutes épreuves : voici pêle-mêle les différentes qualités humaines et professionnelles que nous avons pu apprécier, et on en oublie certainement ! Tant mieux, cela permettra aux témoignages suivants de pouvoir ajouter ce que nous avons certainement oublié.

Pour conclure : Anne-Lucie, MERCI !!! »

– – – –

Si vous aussi, vous avez des projets, des idées, plus d’idées, des envies, des questions, trop de réponses… Avec ma formule magique :  Tête d’ampoule et 7ème sens, je serais ravie de vous accompagner un bout de chemin !
• Une vision extérieure pour ordonner, structurer, organiser vos idées
• Un soutien pour faire naître votre projet
• Un accompagnement pour valoriser au mieux l’imagination de vos collaborateurs et renforcer  le potentiel créatif de votre entreprise
• De nouveaux concepts pour créer ou re-booster votre business
• La clarification de vos envies pour re-trouver votre chemin
• L’acquisition des réflexes qui vous permettront de re-connaître votre intuition et de vous en servir au mieux
• La libération, l’acceptation de votre créativité pour  l’utiliser en confiance
• Un accompagnement pour identifier les tendances innovantes liées à votre activité
#intuition #spontanéité #curiosité #openmind

On se contacte ?

Rencontrer, écouter, rédiger, partager…

10, c’était bien 10 pour décider de partager cette aventure !
Mais quelle aventure ? Celle où je fais l’interview de belles personnes avec des métiers passionnants et surtout où je m’efforce au maximum d’être fidèle à leurs propos… et apparemment ça marche car les retours sont explicitement positifs !

Ce mois de février, c’était la 10ème édition de Il fait bon voir… une infolettre pensée pour et par De la suite dans les images, à l’attention des responsables de salles obscures et de tous ceux qui s’intéressent à la création cinématographique et audiovisuelle des Hauts-de-France.
C’est un outil pour en savoir plus sur ce qui se trame dans les territoires : rencontres avec les publics, sorties prochaines, tournages en cours, auteurs à pied d’oeuvre, …
C’est un moyen de prendre date avec ce qui se présente à court terme comme avec ce qui est plus lointain, mais fera l’actualité.
C’est une proposition pour mieux connaître les talents et compétences qui s’expriment dans la région.
Et c’est le bon plan pour voir comment De la suite dans les images apporte son soutien à la diffusion des oeuvres aidées, en particulier les longs métrages de fiction, documentaires et d’animation.

Pour faire simple, je gère de A à Z l’édition de cette newsletter et je kiffe absolument d’aller à la rencontre de ceux dont je « tire » le portrait. Evidemment, il y en a que je connais déjà avant de les interviewer (le monde de l’audiovisuel est petit quand on évolue en son sein depuis 20 ans 😉 )

En 10 numéros, j’ai eu la grande joie d’interviewer :
Marine Place – Réalisatrice
Florence Masure – Comédienne
Christine Duquesne – Directrice de casting
Yohan Laffort – Réalisateur
Frédéric Pinelli – Conseiller au Pôle Emploi Spectacle
Eric Deschamps – Producteur associatif
Agnès Raymond-Bertand – Chargée de mission audiovisuel & numérique
Christine Gaymay – Régisseur général
Arnaud Demuynck – Auteur, réalisateur et producteur
Guillaume Morel – Producteur et Distributeur
Samuel Quiquempois – chargé d’actions Cinéma Jeune Public 
Lionel Raepsaet et Maxime Catteloin – Musiciens
Axel Dumasy – Chef machiniste
François Derquenne – Directeur des affaires culturelles
Stéphane Pezerat – Comédien
Florence Domange – Directrice Office Jeunesse
Fabien Jankowiak – Repéreur
Tom Weil – Fondateur de Skilleezee
Louisette Faréniaux – Cofondatrice de l’Acharnière
Michel Masiero – Comédien
(pour lire l’article qui vous intéresse, cliquez dessus !)

Et outre le plaisir de mettre le talent d’autrui en valeur, ce qui est fort sympathique également, c’est d’avoir des remerciements en retour !

Merci pour ce bel article ! Ça fait plaisir d’être bien écouté… souvent les journalistes ne restituent pas correctement les propos. Bravo !
C’est très bien, surtout très clair ! On ressent, à cette lecture, le souci pédagogique de donner du sens et de bien faire comprendre les données du sujet. Bravo !
Merci pour votre boulot !
Merci pour l’itw, c’est Top !
Merci beaucoup et bravo, tu as réussi à dire clairement ce que je t’ai baragouiné, ça m’épate. Merci d’avoir magnifié mes dires.
Merci, c’est un super boulot 🙂
Merci d’avoir retranscrit la passion de mon métier.
Merci beaucoup, c’est très bien et très complet ! C’est vachement intéressant, ce que j’dis… 🙂 C’est beau ! Je crois que tu as mieux compris notre boulot que beaucoup ! Merci, c’est très valorisant un tel regard !
Merci pour ton article que je trouve très à mon goût 🙂
Bravo pour ton écriture, et pour ce portrait. Je m’y reconnais !

Bref, le genre de mission qu’il fait bon vivre !!!

Donner de la voix !

Le saviez-vous, les comédiens de la région Hauts de France excellent aussi derrière le micro !

Voilà environ 8 ans, l’activité de doublage en région s’était quasiment arrêtée. La fermeture du studio géré par Nao ! – Colégram, où j’ai eu l’opportunité d’être Directrice de production et Artistique pendant plus de 10 ans, avait considérablement réduit l’activité dans ce domaine, pourtant florissante en son temps. En effet, un nombre important de documentaires, séries, téléfilms, films d’animation et films, doublés en région, ont été diffusés sur de nombreuses chaînes, de TF1 à Canal+, en passant par France Télévisions et M6, sans oublier celles que proposaient les différents « bouquets » satellite…

Plusieurs comédiens de la région ayant fait leurs premiers doublages dans la métropole lilloise sont d’ailleurs aujourd’hui plus que sollicités dans les grands studios de la capitale !

Il semblerait que de bonnes nouvelles soient à prévoir pour les mois et années à venir car les studios Lylo ont décidé d’implanter, après Paris et Bruxelles, un de leurs studios sur La Plaine Images à Tourcoing, afin de profiter du talent des comédiens résidant aux alentours !

A la fin du mois de janvier dernier, un méga casting a été organisé dans le but de trouver les voix d’une prochaine série animée pour France Télévision, réalisée et produite par Ankama, et de référencer une première partie des comédiens qui maîtrisent l’exercice spécifique du doublage !

J’ai eu l’occasion de co-diriger ce casting, qui a permis de mettre en valeur des comédiens avec qui j’ai partagé le studio et le micro de nombreuses années ! Malgré le rythme de folie de ces 2 jours, plus de 50 comédiens auditionnés (!), j’ai eu le plaisir de partager cette aventure avec la généreuse et pétillante Marie Bureau, Directrice Artistique et Casting sur Paris.

Il ne reste plus qu’à attendre les retours d’Ankama, puis de France Télévision, sur les voix qui leur ont été proposées… Quel suspens !

Article écrit et publié sur le site de De la suite dans les images

Le super pouvoir des émotions !

Andréa Bescond et Eric Métayer ont un super pouvoir… celui de faire naître en nous une émotion (euh non… des émotions) que vous êtes obligés de ressentir et d’exprimer !

J’ai vu Andréa Bescond dans « Les chatouilles ou la danse de la colère », Molière du meilleur seule en scène 2016, mise en scène par Eric Métayer.
J’ai vu « Piège Mortel », mise en scène par Eric métayer.
Je viens de voir « La leçon de danse » interprétée et mise en scène par Andréa Bescond et Eric Métayer… et il y a, pour moi, entre ces trois spectacles un point commun : Tout est savamment orchestré pour que le spectateur se re-connecte directement avec son cœur !

Avec ces 3 spectacles, j’ai ri avec mon « rire d’enfant », j’ai éclaté de rire, j’ai dû contenir des fou-rires, j’ai été émue au point de ne pas pouvoir retenir mes larmes qui étaient autant de joie, que de compassion, j’ai du contenir mes sanglots…

Depuis la scène, aussi bien en tant qu’interprète que metteur-e en scène, Andréa et Eric, vous imposent une règle : Ici, on ne triche pas !

Dans « La leçon de danse », qui se joue encore jusque fin décembre au Théâtre de l’œuvre, leurs personnages, Senga et Adémar, au travers de leur histoire, vous amènent à la rencontre de vous-même, vous rappellent qu’il est bon d’aimer l’Amour, la Bienveillance et d’oser s’aimer soi-même, aimer les autres, avec toutes les différences et les talents qui composent chaque être humain.

Si jamais la vie-qui-va-vite, le rythme métro-boulot-dodo, la fatigue automnale, etc… vous donnent l’impression que vous avez perdu votre humanité… vous avez jusqu’à la fin du mois de décembre pour vous y re-connecter ! Senga et Adémar vous montrent le chemin pour retrouver celui de la Vie… doucement, simplement, sincèrement et généreusement ! Courez-y !

Pitch de la pièce :
« Tout pourrait séparer Senga et Adémar…
Ils sont chacun aux extrémités d’un grand écart social et culturel jusqu’à ce qu’une leçon de danse les fasse se rencontrer. Elle, danseuse qui ne peut plus danser, lui, scientifique autiste qu’on ne peut pas toucher.
« La leçon de danse » c’est l’histoire de ces deux personnalités singulières, drôles, blessées, mais avant tout, vivantes ! Une comédie romantique et humaine, drôle et pétillante où l’onirisme transporte le réel. »

« La leçon de danse » de Mark St Germain
Adaptation française : Gérald Sibleyras
Mise en scène et interprétation : Andréa Bescond et Eric Métayer
Lumières : Jean-Yves De Saint-Fuscien
Conception sonore : Vincent Lustaud
Décor : Olivier Hébert
Costumes : Carole Beaupoil, Affiche : Stefan Mucchielli.

@aludv

Photos ©Emilie Deville