Dans ma boîte à trésors, il y a…

Je suis engagée dans plusieurs projets et cela me laisse, hélas, peu de temps pour écrire ici…

Au menu de mes occupations, deux films documentaires que je réalise, une association que je lance, un spectacle que je co-écris… et aussi les séances de coaching, d’art thérapie, les interviews et autres travaux de rédactions pour mes clients…

• Depuis début 2018, je porte un film documentaire : « Odette et moi ».
Ce film capte la transmission d’un spectacle. « Les chatouilles ou la danse de la colère » est une oeuvre artistique qui libère la parole sur le sujet, encore trop tabou, de la pédocriminalité.
Ecrit par Andréa Bescond, qui l’a joué durant plus de 4 ans, mis en scène par Eric Metayer, ce seule-en-scène est interprété par Déborah Moreau.
Depuis avril 2018 et jusqu’en juillet 2019, nous avons suivi cette passation artistique, gorgée d’émotionS !
Aujourd’hui, il nous faut passer à la post-production et réaliser le montage du film. Pour financer cette étape, mon producteur œuvre pour signer avec une diffuseur TV.
Pour suivre l’aventure, ICI la page Facebook

• Depuis juin 2018, j’accompagne Mikael Fau pour la création de son seul en scène  » Une vie rêvée », et j’ai le plaisir de co-écrire le spectacle avec lui.
Avec son expérience pour base d’écriture, Mikael s’est lancé le défi de faire naître de son histoire singulière, un spectacle qui parle à tous.
Son envie est d’offrir aux spectateurs une parenthèse artistique après laquelle chacun-e pourra se dire : «Et pourquoi pas ? Et si mon rêve devenait réalité ?»
Sa motivation ? Partager comment, à chaque fois, nous pouvons décider d’accepter les défis que la vie met sur notre parcours, et comment, même au cœur des difficultés, nous pouvons choisir de rester debout.
Sa conviction ? Les événements heureux ou malheureux sont matière à être utilisés pour grandir et aller vers ce qu’il y a de meilleur pour notre développement.
Comment imagine-t-il son spectacle ? Comme il est, avec de la comédie, de la danse, de la musique, de la peinture, du visuel, de l’émotion et de l’humour, en relevant le défi d’incarner plusieurs personnages.
– LE SYNOPSIS –
Jim est coach de vie en développement personnel.
Ce soir, en prenant pour exemple la vie de Charlie, il met en avant des situations qui lui permettent de démontrer que sa méthode est LA plus efficace lorsqu’il s’agit de faire face aux aléas de la vie.
Pour suivre l’aventure il y a LA PAGE FACEBOOK et LE PROFIL INSTAGRAM

• Depuis juin 2019, une association qui me tient particulièrement à cœur à vu le jour. : Uman Arts Company est un rassemblement international d’artistes, de professionnels de santé, de praticiens du bien-être… de toutes les personnes qui se sentent concernées, désireuses d’agir avec le coeur et avec leurs talents (HEART ou ART) pour irriguer le monde avec des valeurs telles que : les droits humains, la solidarité, la non-violence, l’éducation citoyenne et la protection de l’Enfance, le respect absolu de la dignité de la vie.
Je vous invite à visIter le site ICI et suivre la page Facebook LÀ, ou encore sur Instagram.

• Depuis septembre 2019, j’ai commencé les repérages pour mon deuxième film documentaire : « Once upon a dance ».
Quand je suis sortie de l’amnésie traumatique, il y a presque 4 ans, j’ai été envahie par un besoin, celui de danser. Avec les souvenirs qui se libéraient, « ma danse » se
libérait également… Alors, j’ai dansé seule dans mon salon.
La vérité était remontée au conscient, c’était dur et à la fois libérateur. J’acceptais cette envie de danser… Et puis entre 2 mouvements, j’ai eu un flash…
J’ai étudié la danse, je l’ai pratiqué, enseigné… Et puis mon corps est devenu trop douloureux, si transformé, si camouflé, que j’ai arrêté de vivre ce droit au mouvement, ce droit à la danse…
Avec ce flash… j’ai compris que si mon passé avait été différent, que si je n’avais pas vécu ce traumatisme, j’aurais pu continuer de danser… Etre danseuse.
Depuis toujours, il est là, il existe secrètement, je l’ai gardé en moi… dans ma tête, il y a un studio de danse dans lequel je peux me réfugier quand je veux et créer des chorégraphies. Des chorégraphies où mon corps tourne et virevolte avec aisance…
Avec ce film, je me lance le défi de vivre ce studio de danse, dans le réel.
Pour suivre l’aventure, ICI la page Facebook.

Merci d’avoir lu jusqu’ici et à très vite, j’espère, pour partager avec vous la suite de toutes ces belles aventures 🙂

Rencontrer, écouter, rédiger, partager…

10, c’était bien 10 pour décider de partager cette aventure !
Mais quelle aventure ? Celle où je fais l’interview de belles personnes avec des métiers passionnants et surtout où je m’efforce au maximum d’être fidèle à leurs propos… et apparemment ça marche car les retours sont explicitement positifs !

Ce mois de février, c’était la 10ème édition de Il fait bon voir… une infolettre pensée pour et par De la suite dans les images, à l’attention des responsables de salles obscures et de tous ceux qui s’intéressent à la création cinématographique et audiovisuelle des Hauts-de-France.
C’est un outil pour en savoir plus sur ce qui se trame dans les territoires : rencontres avec les publics, sorties prochaines, tournages en cours, auteurs à pied d’oeuvre, …
C’est un moyen de prendre date avec ce qui se présente à court terme comme avec ce qui est plus lointain, mais fera l’actualité.
C’est une proposition pour mieux connaître les talents et compétences qui s’expriment dans la région.
Et c’est le bon plan pour voir comment De la suite dans les images apporte son soutien à la diffusion des oeuvres aidées, en particulier les longs métrages de fiction, documentaires et d’animation.

Pour faire simple, je gère de A à Z l’édition de cette newsletter et je kiffe absolument d’aller à la rencontre de ceux dont je « tire » le portrait. Evidemment, il y en a que je connais déjà avant de les interviewer (le monde de l’audiovisuel est petit quand on évolue en son sein depuis 20 ans 😉 )

En 10 numéros, j’ai eu la grande joie d’interviewer :
Marine Place – Réalisatrice
Florence Masure – Comédienne
Christine Duquesne – Directrice de casting
Yohan Laffort – Réalisateur
Frédéric Pinelli – Conseiller au Pôle Emploi Spectacle
Eric Deschamps – Producteur associatif
Agnès Raymond-Bertand – Chargée de mission audiovisuel & numérique
Christine Gaymay – Régisseur général
Arnaud Demuynck – Auteur, réalisateur et producteur
Guillaume Morel – Producteur et Distributeur
Samuel Quiquempois – chargé d’actions Cinéma Jeune Public 
Lionel Raepsaet et Maxime Catteloin – Musiciens
Axel Dumasy – Chef machiniste
François Derquenne – Directeur des affaires culturelles
Stéphane Pezerat – Comédien
Florence Domange – Directrice Office Jeunesse
Fabien Jankowiak – Repéreur
Tom Weil – Fondateur de Skilleezee
Louisette Faréniaux – Cofondatrice de l’Acharnière
Michel Masiero – Comédien
(pour lire l’article qui vous intéresse, cliquez dessus !)

Et outre le plaisir de mettre le talent d’autrui en valeur, ce qui est fort sympathique également, c’est d’avoir des remerciements en retour !

Merci pour ce bel article ! Ça fait plaisir d’être bien écouté… souvent les journalistes ne restituent pas correctement les propos. Bravo !
C’est très bien, surtout très clair ! On ressent, à cette lecture, le souci pédagogique de donner du sens et de bien faire comprendre les données du sujet. Bravo !
Merci pour votre boulot !
Merci pour l’itw, c’est Top !
Merci beaucoup et bravo, tu as réussi à dire clairement ce que je t’ai baragouiné, ça m’épate. Merci d’avoir magnifié mes dires.
Merci, c’est un super boulot 🙂
Merci d’avoir retranscrit la passion de mon métier.
Merci beaucoup, c’est très bien et très complet ! C’est vachement intéressant, ce que j’dis… 🙂 C’est beau ! Je crois que tu as mieux compris notre boulot que beaucoup ! Merci, c’est très valorisant un tel regard !
Merci pour ton article que je trouve très à mon goût 🙂
Bravo pour ton écriture, et pour ce portrait. Je m’y reconnais !

Bref, le genre de mission qu’il fait bon vivre !!!

Il est libre Benjamin !

Et oui, j’ai trop de chance ! Parce que la fois où j’ai vu Divines aux journées de pré-visionnage, organisées par mon client, j’ai aussi vu Relève : histoire d’une création, le film, de Messieurs Demaizière et Teurlai, qui nous invite à savourer la créativité de Benjamin Millepied, à l’époque fraîchement nommé comme Directeur de la danse à l’Opéra National de Paris.

OUI ! Ce film est absolument beau car la danse, les magnifiques danseurs y sont purement mis en valeur, et même si l’on ne surkiffe pas la danse, à l’inverse de moi qui du coup pourrait sembler manquer d’objectivité, on ne peut qu’être transporté dans cette formidable aventure qu’est celle de la création d’une œuvre artistique.

Comme le présente le pitch de la production : « RELÈVE raconte le processus de création du nouveau ballet de Benjamin Millepied Clear, Loud, Bright, Forward, une incroyable épopée pleine d’énergie. »… Et il en a de l’énergie Benjamin Millepied, il l’a transmet même au spectateur qui ressort de la projection gonflé d’un « je ne sais quoi » d’enthousiasme !

Au-delà de la danse, que nous savourons sans nous lasser, ce film est un hymne au leadership intelligent, innovant et bienveillant !
Capture d'écran 2016-09-06 00.06.50J’ai aimé découvrir Benjamin Millepied, danseur, chorégraphe, et au-delà encore, j’ai adoré voir le leader emmener son équipe, mouiller sa chemise (au sens propre comme au figuré).
Je suis persuadée qu’être un bon manager c’est faire ce que l’on dit, s’appliquer à soi-même ce que l’on « exige » des autres, donner confiance, encourager, féliciter, inviter à oser, prendre soin de son équipe et rappeler qu’avant tout il faut vivre et faire avec plaisir…
Benjamin Millepied, boulimique de la vie, blindé idées et de créativité, est tout cela, avec beaucoup d’humilité en plus, ce qui ne gâche rien !

Avant de voir Relève : histoire d’une création, j’avais entendu parlé de Benjamin Millepied parce que Black Swan – Natalie Portman – Pub Yves Saint Laurent  – Nomination à l’Opéra de Paris… Avec ce film, j’ai découvert un humaniste (personne qui a foi en l’humain).
Amoureux des Arts avec un grand A, il le montre avec Artform (dont il est le fondateur), une plateforme digitale « to empowering artists » – Built for the needs of artists and art lovers of every discipline – où il partage d’ailleurs en tout simplicité ses créations, y compris la captation vidéo du ballet Clear, Loud, Bright, Forward.
benjamin millepied Il est généreux aussi, en encourageant, par exemple, à faire des dons à l’association « Make a wish » lors d’une des représentations de sa compagnie L.A. Dance Project au Théâtre des Champs Elysées mi-septembre, en donnant un cours en « live stream » depuis le Pacific Northwest Ballet

Bref… Vous l’aurez compris, je vous encourage à découvrir Relève : histoire d’une création (qui sort en salle ce 7 septembre) car vous rencontrerez un homme libre, en phase avec lui même, adepte de la franchise !…
Peut-être est-ce pour cela… « innovation + franchise », que ça ne l’a pas fait avec l’institution un peu (beaucoup) « mamouth » qu’est l’Opéra de Paris… Quand on voit comment les danseurs choisis pour son ballet rayonnaient de bonheur, on imagine qu’ils ont dû regretter ce départ…

Et moi, j’ai l’immense chance d’avoir une amie formidable qui m’invite au Théâtre des Champs Elysées le 18 septembre (pour mon anniversaire – comme ça vous savez tout ;)) pour découvrir les ballets L.A. Dance Project dont celui de Benjamin Millepied ! Youhou !

Ça donnerait presque envie de s’envoler, non ?  😉

@aludv

Pourquoi il faut aller voir Dofus, le manga Made in France (dans le Nord !)

Dofus_film_affiche-204x300Alors forcément comme je connais le microcosme de l’audiovisuel/animation/jeu vidéo depuis de nombreuses années j’ai déjà souvent entendu parler d’Ankama, Dofus et Wakfu.
De plus, même si je n’avais pas souvent travaillé dans ce domaine, avec un fils « gamer », qui a dévoré (avec mon mari) la série Wakfu, j’aurai forcément été informée de la sortie en salle de Dofus… Ou encore, je l’aurai su parce que 2 de mes anciens collègues ont travaillé sur ce « chef d’œuvre » !
Oui ! Je vous annonce tout de suite la couleur ! J’ai kiffé grave !
Le « hasard » faisant bien les choses, c’est (aussi) parce que je suis actuellement en mission pour De la suite dans les images, qui a mis en place avec Ankama une « tournée » de l’équipe DOFUS dans plusieurs cinéma du Nord-Pas de Calais, que je ne pouvais pas ne pas aller voir ce film en salle…

Alors, hop ! Mercredi dernier, en famille, avec enfant, mari, sœur, neveu et nièce…
On est allés au ciné à Bruay ! (parce que c’est pas loin de chez ma sœur et que l’équipe du film allait y venir – l’album photo est ici)

Pourquoi je vous raconte ma vie ?

Parce que j’étais dans cette salle de cinéma sans savoir vraiment de quoi ça allait parler, n’étant pas moi-même joueuse, je ne connaissais pas l’univers de Dofus en détail… et mon âge « mûr » de quarantenaire ne faisait pas de moi une personne dans la cible « commerciale » de ce film… enfin, le pensais-je…

J’ai rarement ri ainsi au cinéma ! Avec ma sœur, ont s’est pris un fou rire carabiné, on a même cru qu’on allait devoir sortir de la salle… et nous n’étions pas les seules à rire à gorge déployée !

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Les personnages parlent un langage dans lequel toutes les générations se reconnaissent et ça c’est fort ! Et, il y a même des expressions que j’utilisais quand j’étais « djeuns ».

La professionnelle, que je suis, a (et aurait) de toutes façons apprécié le savoir faire de tous les talents qui ont participé à ce film… Mais là, plus encore, j’ai été embarquée dans cet univers, je me suis attachée aux personnages, ils m’ont fait rire, ils m’ont émus, je me suis surprise à être à fond avec eux quand leur vie était en danger… Ça, c’est du Talent !

140218_dofus_retour_julithDofus est un VRAI « feel good movie » digne des plus grands Disney, Pixar et autres géants de l’animation ! Et il est entièrement fait en France, avec une liberté bien de chez nous, qu’Ankama a pu offrir aux spectateurs, en finançant 50% du film (ce qui est une folie !), car ainsi pas de censure.

Si je pouvais louer un avion qui ferait flotter non-stop, l’affiche du film en banderole, je le ferais sans hésiter… A défaut d’avion, je revendique haut fort sur mon blog : Il faut aller voir Dofus pour que ce film fasse le plein d’entrées et que nous puissions profiter des épisodes à venir car ce n’est que le Livre 1… (mais rassurez-vous l’histoire ne nous laisse aucunement sur notre faim !)

dofus-livre-1-julith-teaser-2016-jpeg_thumbnail_sourceEt aussi, grâce à ce film, j’ai rencontré le personnage de Khan Karkass, fabuleux macho habillé d’un short moulant… Un vrai régal !
Certes nous sommes dans le manga et les personnages féminins sont « moulés » dans leur tenue (comme d’hab, me direz-vous), mais le réalisateur Anthony Roux, alias Tot, va encore plus loin avec ce personnage qui, de mon point de vue, met le traitement de gente féminine et masculine à égalité, dans la caricature et la dérision, et ça fait du bien !

Bon, vous l’aurez compris… Je suis fan !
Soutenez cette belle création française, allez au cinéma voir Dofus !

@aludv